Pop Culture Log #002

I'm back, baby ! Films, séries, théâtre, BD, mangas, musique, jeux vidéo, podcasts : voici tout ce que j'ai "consommé" ces dix derniers jours.

Pop Culture Log #002

Et pour être tout à fait honnête, j'ai toujours su que je regardais, j'écoutais et je lisais beaucoup de trucs au quotidien. Mais depuis que je fais ce récap (dont la première édition est disponible par ici), je trouve ça presque flippant. En même temps, il est un peu trop tard pour changer, donc foutu pour foutu, voici toute la pop culture que mon cerveau fatigué a bouffée entre le 8 et le 18 janvier 2025.

Cinéma

✱ Love Lies Bleeding

Drôle d'année pour A24. Tout n'était pas à jeter (à commencer par mon film préféré de 2024, I Saw The TV Glow). Mais dans l'ensemble, beaucoup de films du studio étaient juste passables, ou rapidement oubliés. C'est un peu le cas de ce Love Lies Bleeding, une histoire d'amour lesbienne sur fond de culturisme et de violence. Le casting est très bien (j'adore Kristen Stewart, et Ed Harris m'a marqué à vie dans Westworld), mais je ne suis jamais vraiment rentré dans cette histoire. J'ai préféré le précédent film de Rose Glass, l'excellent Saint Maud, également chez A24. Bref, bravo les lesbiennes, I guess, mais moi j'suis un peu resté sur le côté. — Disponible sur Amazon Prime.

✱ A Grand Day Out

La hype Wallace et Gromit m'étonnera toujours. Quand j'étais petit, j'avais vu "Un Mauvais Pantalon", qui m'avait marqué. Mais j'ai très vite décroché, et j'avoue que j'ai du mal à replonger dans cet univers. Pourtant, sur Letterboxd, les avis sont presque dithyrambiques et en revoyant ce premier court, je me demande bien pourquoi. C'est... sympa ? Le côté amateur me plaît plus que les personnages, l'univers et "l'humour" (je ne sais pas si on peut qualifier ça d'humour, mais bon). Ça m'a un peu refroidi. Je comptais revoir les autres courts et enchaîner avec les films, dont le tout dernier sorti récemment, Wallace & Gromit: Vengeance Most Fowl. Mais ça attendra. — Disponible en Blu Ray.

✱ Les Chambres Rouges

Première claque de 2025. Quel film incroyable. On y suit le procès d'un mec, accusé d'avoir tué trois adolescentes, et d'avoir filmé les crimes pour les diffuser sur le dark web. Au procès, on suit Kelly-Anne (Juliette Gariépy, absolument incroyable), une jeune femme obsédée par le tueur et ses meurtres. Le film, réalisé par Pascal Plante, est froid, chirurgical. On ne voit pas une goutte de sang, une seule scène de violence. Et pourtant, c'est glaçant d'un bout à l'autre. Grâce à la photo, à la réalisation, à la musique, à une longue introduction remarquable. Et puis à scène, qui va rester longtemps, très longtemps dans ma mémoire. — Disponible auprès de votre cousin doué en informatique.

✱ Sleep

Premier long de Jason Yu, Sleep s'appuie sur une bonne idée (un homme victime de somnambulisme, et le danger que cela représente pour sa femme et leur nouveau-né). Et dans l'ensemble ça tient la route. Mais le final m'a dérangé. Sans entrer dans les détails, je dirais que le changement de ton est amorcé trop maladroitement pour que ça soit "crédible". Je n'ai rien contre la piste choisie par le réal, mais ça semble un peu sorti de nulle part. C'est dommage parce que ça aurait pu être efficace de bout en bout. Là, je suis un peu resté sur ma faim. Mais j'ai hâte de voir ce que Jason Yu proposera par la suite. — Disponible auprès de votre cousin doué en informatique.

✱ The Room Next Door

J'aime bien Almodovar, mais moins que la presse française, qui n'hésite pas à y aller en gorge profonde à chaque nouveau film. Parfois c'est justifié (La piel que habito frôle la perfection), mais dans le cas de The Room Next Door, c'est un peu du foutage de gueule. Heureusement que le film est porté par d'excellentes actrices (Julianne Moore et Tilda Swinton), parce que sans ça, ça serait catastrophique. Les dialogues sont gênants, Swinton joue comme au théâtre, et personnellement, des riches qui meurent, ça reste des gens riches et je n’ai pas ou peu d'affect. L'euthanasie dans un AirBnB cossu, moi ça ne me parle pas. Surtout à notre époque. — Le film est actuellement dans les salles belges.

✱ Queer

Rien ne fonctionne dans cette adaptation du chef-d’œuvre de William S. Burroughs. Daniel Craig se donne beaucoup de mal pour jouer un vieux gay, et ça ne va pas du tout, je n’y crois pas une seule seconde. En face de lui, Drew Starkey (que je ne connaissais pas) a autant de charisme qu'une huître. Difficile donc de justifier l'attirance du premier pour le second (qui fait tout aussi hétéro que l'ex-007). Puis on sent que Luca Guadagnino en fait encore des caisses. La photo de Sayombhu Mukdeeprom sauve un peu les meubles, mais à part quelques jolis plans, ça sonne faux (et les SFX ratés n'aident pas). Not to be this guy (mais quand même) : (re)lisez le livre. De toute façon, c'est inadaptable. David Cronenberg l'avait bien compris, en adaptant Le Festin Nu en 1991. Sans petite pirouette scénaristique, difficile d'adapter du Burroughs. — Le film sort le 26 février dans les salles belges.

✱ Mulholland Drive

Je ne suis pas un fan inconditionnel de David Lynch, mais son décès m'a touché. Et j'ai immédiatement sauté sur l'occasion pour revoir Mulholland Drive. Un film presque parfait, qui n'a pas pris une ride. Et surtout, qui fonctionne toujours, et n'a rien perdu de son charme et son mystère au fil des visionnages. — Disponible sur La Cinetek.

✱ Les Barbares

J'aime bien Julie Delpy. Je la trouve drôle. D'ailleurs, un film que je remate très souvent (et que je cite également trop souvent), c'est 2 Days in New York ("Minguuuuus family !!"). Bon, parfois elle me perd un peu. J'ai d'ailleurs eu un peu peur en lisant le pitch et en voyant l'affiche de cette comédie, qui sonne comme la version de gauche de "Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?" Au final, ce n'est pas la catastrophe annoncée. C'est même plutôt charmant, même si tout ne fait pas mouche (le fait de donner une storyline à chaque habitant du village n'était pas forcément nécessaire). À noter, la présence d'un excellent Laurent Lafitte, qui est né pour jouer les pourritures. — Disponible en Blu Ray.

✱ Casino

Reprenez ma carte de cinéphile : je n'avais jamais vu Casino. Et vous pouvez garder ma carte pendant quelques jours parce que j'ai passé un bon moment, mais j'ai trouvé ça tellement long. L'aspect "vignettes" du film, avec des petites séquences qui sont vaguement reliées l'une à l'autre, m'a donné l'impression que le film ne commençait jamais. Comme un long résumé des épisodes précédents. "Previously, in Casino", en quelque sorte. Après, ça reste au-dessus du lot hein, De Niro (et ses costumes !) est génial, Joe Pesci est plus Joe Pesci que jamais, et la BO est parfaite comme souvent chez Scorsese. Mais j'ai sans doute trop attendu pour le voir. À choisir, je préfère revoir Goodfellas. — Disponible sur La Cinetek.

Avant d'aller plus loin : n'hésitez pas à me suivre sur Letterboxd. Mon profil est ci-dessous :

Anthony Mirelli’s profile
Anthony uses Letterboxd to share film reviews and lists. 2,989 films watched. Favorites: Synecdoche, New York (2008), Primer (2004), A Ghost Story (2017), Come and See (1985). Bio: Journaliste tech à la RTBF // Cinéma, tendances et littérature au magazine Moustique 🇧🇪 // 🏳️‍🌈

Théâtre

✱ Vanya

On ne parle pas assez de la plateforme de streaming National Theatre at Home, et c'est bien dommage. Parce qu'on y trouve des captations de pièces du Royal National Theatre de Londres. J'essayerai de revenir sur quelques titres importants du catalogue (Prima Facie, Angels in America). Mais d'ici là, je vous conseille très, très chaudement de vous jeter sur Vanya. Une adaptation d'Oncle Vanya d'Anton Tchekhov, avec Andrew Scott (nommé aux Laurence Olivier Awards). L'acteur incarne tous les personnages, seul sur scène, pendant deux heures. Et c'est époustouflant (et tellement limpide, ce qui est une véritable prouesse). J'en ai des frissons rien que d'y penser. Même si vous n'aimez pas le théâtre, laissez-vous tenter. Au pire, vous aurez passé deux heures en compagnie d'Andrew Scott. Y'a pire... — Disponible sur l'application National Theatre at Home.

Séries

✱ Pop Culture Jeopardy

Présentée par Colin Jost (aussi à l'aise dans le rôle qu'un poisson hors de l'eau), cette déclinaison pop culture du célèbre jeu Jeopardy est un peu une drogue dure. J'enchaîne les épisodes et je crie les réponses tout haut, seul chez moi. C'est très satisfaisant (ou triste, c'est selon). Si vous aimez la pop culture (des génériques de séries en passant par des trends TikTok, des émissions de télé réalité, du cinéma ou encore des sketchs du SNL), c'est vraiment à voir. Au total, il y aura 40 épisodes. Et j'peux déjà vous dire que c'est trop peu. — Disponible sur Amazon Prime

✱ The Pitt

J'ai jamais vraiment regardé ER à l'époque. Et globalement, les séries médicales m'emmerdent. The Pitt, qui n'est autre que ER version 2025 (avec presque la même équipe) ne partait pas gagnante en ce qui me concerne. Mais au-delà de mes réticences, j'ai trouvé les trois premiers épisodes faiblards. La formule n'a pas évolué depuis 1994. Ça balance du jargon en parlant très vite. Le héros (Noah Wyle) est évidemment doué mais torturé. Et de temps en temps, y'a un peu de sang ou un cas bizarre pour relancer la machine. C'est trop répétitif pour moi. — Disponible sur HBO Max.

✱ Abbott Elementary

La sitcom inoffensive (et jamais vraiment hilarante) Abbott Elementary a proposé un crossover avec It's Always Sunny in Philadelphia, une série qui est à l'opposé de ce que propose Quinta Brunson. Seul point commun entre les deux ? Elles sont basées à Philadelphie. C'est tout. Et pourtant, ce crossover est une réussite. Ça ne trahi ni l'univers de Abbott, ni celui de Sunny. J'ai hâte de voir la suite, qui sera diffusée lors de la prochaine saison de Sunny in Philly. — Disponible auprès de votre cousin doué en informatique. Les précédentes saisons sont sur Disney+.

✱ Le Monde Magique de Jérôme Commandeur

Vous avez probablement vu tourner des extraits sur les réseaux sociaux. Et c'est finalement comme ça qu'il faut consommer ce "monde magique", une tentative de plus de faire un sketch show à la française (parce que les Français n'apprennent JAMAIS de leurs erreurs). Bon, tout n'est pas raté. Les sujets parodiés ne sont pas communs. Commandeur est toujours excellent (surtout en Nikos). Et la réal est propre (tout comme les maquillages, les perruques, les costumes). Mais pour le reste... c'est catastrophique. Tout est trop long. Beaucoup trop long. Ça tombe souvent à plat. Les guests sont très rarement à la hauteur de Commandeur. Les séquences face cam sont gênantes. Mais ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi Jerome Commandeur est crédité comme l'unique auteur de ces 8 épisodes ? C'est insensé. Personne n'écrit un sketch show seul. Encore moins en France. Bref, vivement la prochaine tentative (non).— Disponible sur Canal+.

Anime

✱ Sakamoto Days

L'adaptation du manga de Yuto Suzuki a enfin commencé sur Netflix, et c'est toujours aussi fun. L'animation est cool, et même si je connais l'histoire, j'ai bien aimé les deux premiers épisodes. Par contre, ça m'avait un peu dérangé en lisant le manga, mais j'ai l'impression que l'anime insiste encore plus sur le fait que Sakamoto est devenu gros. Y'a un côté "lol un gros, hey regardez il est gros" que j'avais moins ressenti à la lecture. — Disponible sur Netflix.

✱ Zenshu

J'aime beaucoup le pitch : Natsuko Hirose est une animatrice qui a du mal à avancer sur son dernier projet en date. Et à la suite d'un événement que je ne vais pas spoiler, elle se retrouve happée dans l'univers d'un film d'animation qu'elle adorait quand elle était enfant. Le mélange des genres (réaliste d'un côté, médiéval de l'autre) fonctionne bien. — Disponible sur Crunchyroll.

BD / Manga

✱ In, de Will McPhail

La version française vient de sortir chez 404 Éditions (sous le nom "Au-dedans") et franchement, ça vaut le coup d'œil. On y suit le quotidien d'un illustrateur à New York. Et sans prévenir, ça devient rapidement émouvant. C'est aussi très drôle, avec des observations très justes (notamment sur les cafés-concept). C'est rare que je le dise mais je pense que ça ferait une excellente série télé.

Une case de "In", de Will McPhail

✱ Serial Killer Land, de Nokuto Koike

Je le mentionne ici juste pour vous prévenir : fuyez cette nouveauté, éditée en français chez Komikku. C'est une catastrophe. Ce n’est pas très joli, mais surtout ça part dans tous les sens. Et la narration est tellement premier degré que ça en devient risible. Ça promet "une plongée dans le monde des tueurs en série" mais on en est loin. C'est bien simple, je n'arrive pas à trouver un seul point positif.

Une planche de "Serial Killer Land"

Roman

The City and Its Uncertain Walls, de Haruki Murakami

Premier roman de l'année, et premier roman abandonné de l'année. Je n'aime pas trop arrêter un livre sans le terminer mais on n'a que 24 heures dans une journée et ce n'est pas assez pour se farcir les délires magiques de Murakami. Pourtant ça commençait bien. C'est poétique et intriguant. Mais très vite, Murakami se retrouve écrasé par l'univers qu'il a créé, et en guise de réponses (ou d'explications), ou peut l'entendre dire "ta gueule, c'est magique et puis c'est tout !" Pourtant, je n’ai rien contre le mystère et les univers oniriques (cfr. Mulholland Drive, plus haut). Mais là c'est vraiment du foutage de gueule. — Disponible en anglais chez Penguin Random House et en français chez Belfond.

Musique

✱ graou, de Miki

France Inter a déjà mis la main dessus, donc profitons de Miki avant qu'elle nous énerve. Pour l'instant, j'aime bien. C'est pas incroyable, mais c'est entêtant et agréable à écouter. Elle ne fera pas mille EP comme ça (je me demande d'ailleurs à quoi pourrait ressembler tout un album). Mais j'aime bien cartoon sex et c'est déjà pas mal.

✱ Perverts, de Ethel Cain

Comme je le disais dans le précédent Log, je suis incapable de parler de musique. Mais alors, parler de Perverts d'Ethel Cain, c'est encore un autre délire. Je n'ai tout simplement pas les mots pour expliquer ce que je ressens à l'écoute de cet album que j'ai pourtant adoré. Du coup, accrochez-vous, parce que je vais tenter un truc. Vous voyez la scène de fin du Projet Blair Witch ? (Spoiler alert pour un film qui a 26 ans, mais je parle du plan avec Mike, face au mur, et les cris d'Heather). Eh bien Perverts d'Ethel Cain est la BO parfaite de ce plan, qui est resté à jamais gravé dans ma mémoire. Voilà, démerdez-vous avec ça.

✱ Irène Drésel

Tout comme Ethel Cain, je ne connaissais pas Irène Drésel. Et sur un coup de tête, après avoir jeté un œil à l'agenda culturel en Belgique ce week-end, j'ai acheté une place pour son concert à l'Eden, à Charleroi. C'était une bonne occasion de revenir dans ma ville natale, et une occasion également d'aller à un concert seul, pour la toute première fois. Et c'était cool. C'est de l'électro, et j'ai globalement passé un bon moment. Bon, ça manquait peut-être de surprises pour moi. Ce que je veux dire par là, c'est que chaque morceau débutait bien, c'était prometteur. Mais très vite, ça atteint une sorte de plateau qui place le concert sur des rails. J'ai rarement été surpris par des changements de rythmes, par exemple (parler de musique est un véritable enfer, vous m'entendez).

Jeux Vidéo

✱ Donkey Kong Country Returns HD

Oh ! Un remake de plus sur Switch... Je continue de pardonner à Nintendo parce que les jeux sont bons, et surtout, parce que je reçois des codes de leur part et donc je ne débourse pas un franc. Mais tout le catalogue Wii / Wii U qui revient sur Switch, et qui coûte 60€ à chaque fois, c'est cool quand on n'a pas connu ces titres sur d'anciennes consoles. Mais c'est surtout bien trop cher et bien trop facile. Le jeu en lui-même est vraiment sympa, c'est un excellent plateformer. C'est pas le plus simple, mais c'est vraiment réussi (même si la suite, Tropical Freeze, est encore meilleure).

Podcasts


✱ Parasite

J'avais complètement loupé la sortie de ce podcast, emmené par Sacha Béhar (la moitié du duo DAVA). Merci à Guillaume, qui en a parlé sur Bluesky. Le principe de Parasite (sous-titré "le premier podcast sérieux sur le cinéma") est simple : ça parle de cinéma au millième degré. Et croyez-moi, on est loin, très loin des podcasts horribles qui parlent de cinéma (qu'est qui s'en plaindrait). Ici c'est à mourir de rire. Et du coup, j'enchaîne les épisodes sans me lasser.

Expo

✱ Le surréalisme : bouleverser le réel

Bon, à moins d'habiter en Belgique, ça ne va pas vraiment vous intéresser. Mais j'ai rattrapé cette expo au BAM de Mons. C'est jusqu'au 16 février et c'est cool de voir des œuvres de surréalistes belges comme Paul Nougé, Rachel Baes ou Marcel Mariën. Y'a quelques œuvres de Magritte aussi. Bref, ça coûte 9 balles, le lieu est sympa donc voilà. Par contre, si vous êtes faibles comme moi, vous risquez d'avoir cette chanson de Jacqueline Misson & Les Hippocampes en tête pendant des jours.

YouTube


✱ Nintendo Switch 2 – First-look trailer

J'suis pas un garçon difficile. La vidéo est cool, le sound design est incroyable. C'est plus grand, plus beau. Que demander de plus ?

✱ Anthony Jeselnik and Dan Mintz Roast John Mulaney's New In Town

Je n'avais jamais vu ce bonus, qui, comme son nom l'indique, est un mini roast du célèbre New in Town de John Mulaney, par Anthony Jeselnik et Dan Mintz (plus connu pour le personnage de Tina, dans Bob's Burgers).

✱ Dunkey's Best of 2024

C'est vraiment mon youtubeur préféré. Parce qu'il est passionné par les jeux vidéo, mais il a surtout le recul nécessaire pour en parler avec humour. Et ça tombe bien parce qu'il est vraiment, vraiment drôle. Un coup d'œil à sa réaction à l'annonce de la Switch 2 devrait vous en convaincre.

✱  Becca Farsace

Autre créatrice de contenu que j'aime beaucoup : Becca Farsace, une ancienne de The Verge, qui s'est lancée en solo il y a quelques mois. J'aime bien sa façon de parler de technologie, sa douceur, sa bonne humeur. Et surtout sa transparence et son honnêteté.


Voilà, c'est tout (et c'est déjà pas mal) pour cette semaine !